LAURA
Un parcours comme beaucoup d’autres
Mes parents avaient l’habitude de dire que je savais danser avant de savoir marcher.
À 3 ans je leur déclarais ma volonté d’être danseuse étoile (comme tant de petites filles).
À 7 ans, le jour de mon anniversaire, ma mère m’a amenée m’inscrire au cours de danse classique.
Tous mes sens s’en souviennent encore !
C’est l’un des plus beaux jours de ma vie.
CONVICTION
L’ART PEUT SAUVER, AIDER, TRANSFORMER
Par la suite, la danse, ma plus grande amie, m’a sauvée des pentes glissantes (non, je ne fais pas de ski).
Quand ma famille a implosé, j’aurais pu me tourner vers la drogue, les sectes ou pire, heureusement la danse était là, en moi et je suivais quatre cours hebdomadaires.
Plus tard je suis arrivée à 35 heures ou plus par semaine, entre les cours que je prenais et ceux que je donnais.
Tout en dansant et en enseignant la danse je suis tombée dans la marmite des contes.
ÉPANOUISSEMENT
Débuts difficiles. Jusqu’au jour où j’ai allié les deux :
la parole au geste.
Se fut un envol, une liberté retrouvée et la reconnaissance du public.
Et ça continue, avec une nouvelle corde à ma lyre : l’art-thérapie.
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